Amnésie passagère ? un peu à l’ouest voire carrément couillon ? Des chercheurs australiens en “romantisme et accouplement humain” (rien que ça) ont étudié les mécanismes chimiques des cerveaux de 1500 jeunes adultes et le constat est sans appel : en libérant un shoot de dopamine, le sentiment amoureux nous empêche littéralement de réfléchir…
Depuis peu que les scientifiques s’intéressent au love avec un grand L, ils observent une véritable tempête chimique dans nos têtes. Le combo ? Un peu d’ocytocine, l’hormone de l’attachement ; un soupçon de vasopressine, engagée, elle, dans la fidélité ; la dopamine, bien sûr, impliquée dans le plaisir ; et de la sérotonine, associée au sentiment de bonheur.
Mais qu’on se rassure, c’est un cocktail aussi bon pour notre santé physique qu’intellectuelle qui sélectionne les mécanismes biologiques aidant à faire face au stress et aux aléas de la vie.