Même après l’explosion du port de Beyrouth, Hicham avait “le sentiment bête de vouloir rester là”. Ni une ni deux, il rouvre son théâtre, le Metro Al-Madina, et résiste via sa prog’ éclectique : danse du ventre, burlesque, comédies musicales, satire politique… L’économie de son pays est en ruines ? Il s’adapte : 15% des tickets sont vendus sur la base du « payez ce que vous pouvez » car « cette ville est tombée en dépression et on a besoin d’un remontant !«