Une bande d’ami·e·s, de bonnes choses à boire et à déguster : on a pas encore trouvé mieux pour animer un salon ou une salle à manger. Parce qu’il fait déjà un poil trop frais pour refaire le monde sur une terrasse de café, la saison des dîners à la casa est officiellement lancée ! Et voici de quoi organiser le meilleur banquet :
Conseil n°1 – Prendre de l’avance. Pour éviter de se retrouver rapidement dans le chaos, on prépare des listes bullet points pour : les invité·e·s, le menu, l’ambiance… Dès que cette partie est fixée, on achète direct ce qu’on a pas à préparer nous même, comme le vin (ou le sans alcool), le dessert qu’on commande, les fleurs et les bougies si on veut que ça en jette. Ça, c’est plié.
Conseil n°2 – S’inspirer des meilleur·e·s. L’art de la table est remis au goût du jour par une nouvelle garde talentueuse, inspirée par les vaisselles chinées et les matériaux naturels. Et il y a du choix : plutôt table à la @aliceinfood, @alicemoireau, @alixelacloche, @maisonjoumana ou @balboste_Paris ?
Conseil n°3 – Préparer des plats qu’on maîtrise. Pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple et bon ? Plutôt que de vous lancer pour la première fois sur un coq au vin, préférez une recette avec laquelle vous êtes à l’aise et cuisinez de saison (ça coutera moins cher !). On a regroupé ici les recettes du Filtre et de sa nouvelle petite soeur 100 % food, Belly !
Conseil n°4 – Servir le dessert dans le salon. Plutôt que de rester vissés sur les chaises de la salle à manger, proposez de finir le repas sur le canapé. Pour plusieurs raisons : ça aide à mélanger les invité·e·s, lancer de nouvelles conversations et digérer dans une position plus relax !
Conseil n°5 – Nettoyer avant de se coucher. Il y a deux écoles : ceux qui préfèrent profiter des invité·e·s jusqu’au petit matin et ceux qui savent que l’appart risque de ressembler à un champ de bataille au réveil, en plus du potentiel mal de crâne. Débarrassez au moins les tables, remplissez le lave-vaisselle et mettez les restes au frais. Votre moi du lendemain vous remerciera…
Crédits : K. Kakanias, Balboste, NYT