Quel avenir nous réserve la livraison de repas ? Après son boom pendant les confifis, elle est passée de 1 à 10% de parts de marché en France et les dark kitchens lèvent des millions. Problème : le modèle de ces usines à food qui envoient indistinctement couscous, tacos ou choucroute de la mer (si, si, on vous jure) est souvent prédateur… voire inviable. Pas que la livraison soit mauvaise en soi, mais qu’il lui faut un modèle vertueux.
Celui fondé sur des expériences de restauration nomades mais incarnées et durables. Des bright kitchens en somme, comme ONA et ses paniers de haut vol signés par des chef.fe.s (dont le dernier par Sarah de TopChef, à déguster en regardant… Sarah sur M6), Tiptoque et ses menus de toques célèbres à domicile ou le site de livraison éthique Resto.paris qui font prendre conscience que la livraison est un luxe qui doit être correctement rémunéré. Pour que livraison rime avec raison.