C’est un chiffre désolant : depuis le début de l’année, 22 journalistes et collaborateur·ices sont mort·es en exercant leur métier. En Ukraine, au Mexique, au Cachemire et dans d’autres régions du monde, la repression contre le droit à l’information s’intensifie, causée par les conflits armés et les régimes autoritaires. En témoigne le récit d’un collaborateur de France Inter, enlevé par l’armée russe et détenu pendant 9 jours… Si comme nous, vous souhaitez soutenir la liberté de la presse, vous pouvez le faire ici.