Chacun son pieu. Socialement stigmatisée, la pratique du “sleep divorce” ou “divorce du sommeil” concernerait pourtant 15 % des couples – dont la gourou du bien-être Gwyneth Paltrow. Ronflements, emplois du temps conflictuels, vouloir améliorer la qualité de son sommeil ou simple besoin d’espace…cette étude montre la multiplicité des raisons qui justifient la chambre séparée. Ce qu’on en retient :
Repenser le couple par l’angle de la chambre
Constat de l’étude : les témoignages des interrogés sont assez unanimes sur les bienfaits ressentis, qu’ils l’exercent depuis 2 ans ou 20 ans. Une introvertie y trouve enfin sa safe place au sein du couple, les parents d’une famille nombreuse savourent ces moments de silence total, un couple de 60 ans y voit le secret de leur longévité et d’autres s’invitent dans leur chambre comme ils partiraient en weekend à l’hôtel. Une nouvelle dynamique qui nous titille bien.
Quand les mœurs changent, le design suit
Les architectes d’intérieur concevraient même des appartements avec non pas une mais 2 chambres principales pour faciliter cet arrangement. Chacun ses goûts, chacun son mobilier, la chambre à coucher devient le reflet de la personnalité de son habitant. Un luxe qui coûte son petit pesant d’or, surtout au prix du m2 dans les grandes capitales…