On ne l’aurait pas vu venir. Dans un pays où 50% de la population est analphabète et où les défis climatiques sont à relever, les conversations groupées dans lesquelles fusent les notes vocales fleurissent chez les agriculteurs sénégalais. Une révolution tout sauf silencieuse faisant fructifier une nouvelle façon de transmettre d’échanger conseils et bonnes pratiques agricoles.