Il ne suffit pas de donner plus de jours de télétravail ou d’augmenter les salaires pour lutter contre la Great Resignation. Dans son dernier numéro, la Harvard Business Review titrait “Inventez des métiers que les gens aiment vraiment”,en utilisant le mot “amour” au sens propre du terme. Pour attirer et retenir les meilleurs talents, il faut repenser les emplois autour d’un concept simple et puissant : l’amour pour le contenu du travail en lui-même.
Quel rapport avec l’amour ?
L’expert du sujet, c’est Marcus Buckingham, l’auteur de l’excellent best-seller Love + Work : il s’est rendu compte que le même cocktail chimique du processus amoureux (dopamine + ocytocine + noradrénaline) se produisait quand on aimait vraiment son job. Et du coup, les mêmes conséquences : élargissement de sa vision du monde, intensité des émotions, plus d’optimisme, d’énergie, d’indulgence, etc….
Kiffer 20 % de sa journée de travail
Son ordonnance pour reproduire les mêmes effets ? Passer au moins 20 % de sa journée de travail sur sa “tâche” préférée : celle sur laquelle vous avez hâte de vous mettre, celle que vous aimez faire durer. C’est ce qu’il appelle “le fil rouge”, qui aide à faire passer la pilule des “missions opérationnelles” qui vous plaisent moins…
Vous l’avez compris, Marcus est notre nouveau working guide et si vous voulez creuser son analyse pour avoir plus de conseils, c’est par ici !
Crédit illu : Rose Wong