Parfois, c’est une info people qui remet un sujet sérieux sur le tapis. Cette fois, une interview de Jennifer Aniston sur sa difficulté à concevoir un enfant pendant sa carrière. Star ou pas, l’actrice a emprunté le même chemin qu’une multitude de femmes, pour qui tomber enceinte reste un combat :
Essayer, essayer, essayer…
À 53 ans, Aniston a brisé le silence et mis fin aux rumeurs : “personne ne s’en doutait, pendant toutes ces années de spéculation… Mais c’était vraiment difficile. Je faisais des FIV, je buvais des thés chinois, j’ai tout essayé. J’aurais donné n’importe quoi pour qu’on me dise : ‘Congèle tes ovules. Fais-toi une faveur.’ Et me voilà aujourd’hui… Le bateau est parti. ”
Un droit récemment acquis
Si de nombreux pays autorisent la pratique, la France ne le permet que depuis 1 an en dehors de tout motif médical, et seulement pour les femmes âgées de 29 à 37 ans. Une révolution féministe – au même titre que la PMA – qui donne la possibilité à certaines d’enfin envisager une grossesse, en témoigne quelques candidates. Et pour celles qui aimeraient un accompagnement émotionnel – le traitement reste lourd – des plateformes comme Umaya apportent un supplément de sérénité.
Pourquoi congeler ses ovocytes ?
Peut-être pour l’une de ces 4 raisons, si on ne doit citer que celles-là : 1) parce que vous ne savez pas encore si vous voulez un enfant. 2) parce que vous êtes dans l’attente d’un couple stable. 3) parce que professionnellement beaucoup de chose se passe entre 30 et 40 ans et que vous êtes focus sur ça. 4) C’est gratuit. Et si la maternité n’est pas le chemin de toutes, ça laisse toujours une fenêtre d’ouverture pour changer d’avis. Envie d’en savoir plus ? Ça se passe ici et là !
Crédit : Ana Wanda Gogusey