Drew Barrymore a lâché le morceau : elle n’a pas fricoté depuis 2016 et merci, tout va très bien pour elle. Entre les témoignages et les documentaires sur le sujet, le hot topic de l’asexualité semble là pour rester ! La tendance se confirme via une génération pour qui le désir sexuel est souvent remisé au second plan :
Free from desire
C’est le nom du podcast de la journaliste Aline Laurent-Mayard, 34 ans et asexuelle assumée. Jamais été attirée par personne, ni sexuellement, ni romantiquement, elle dit s’en porter très bien. Cette année, elle a décidé de faire un enfant toute seule par PMA et raconte au micro – avec une flopée de sexologues, historien·nes et militant·es – son rapport avec une société qui ne parle que de “ça”.
La fin du sex-positivism ?
Le Vogue U.S pose la question : is the next phase of sex positivity choosing not to have sex ? Comprendre = on aurait produit l’effet inverse du sex positivism, en faisant peser un culte de la performance sur nos relations intimes. Résultat ? 25 % des femmes célibataires américaines n’ont pas eu de rapport en 2 ans, un nombre en constante augmentation. Pas de sexe plutôt que trop de stress.
Être en couple avec soi-même
Côté self care, certain·es poussent le raisonnement plus loin en se basant sur une data intrigante : les célibataires vivraient plus longtemps et plus heureux·ses… En découle un nouveau concept, le solo polyamour, soit l’idée de se focaliser sur soi et son plaisir personnel avant d’en donner aux autres. Alors, team « égoïsme » ou « altruisme » ?
Crédit : Ana W. Gogusey, Alva Skog