Oubliez le dry january et le sport quotidien, les plumes du New Yorker nous offrent une bien meilleure résolution : dévorer leurs coups de cœur littéraires. Des journaux intimes sur la vie californienne du subversif Christopher Isherwood aux poèmes décapants de Frederick Seidel, leurs choix sortent des sentiers battus. Un conseil ? Prenez des notes ! Leur sélection pointue risque fort de définir votre pile à lire de l’année.
The Line of Beauty d’Alan Hollinghurst
Une plongée dans l’Angleterre thatchérienne des années 1980, entre fêtes mondaines et ombre grandissante du SIDA
Swimming Studies de Leanne Shapton
Les souvenirs d’une presque championne olympique de natation, où chaque longueur de bassin raconte une histoire
Life After Life de Kate Atkinson
Le destin multiple d’Ursula Todd, née en 1910, qui vit et revit sa vie comme une plante qui repousse chaque printemps
Diaries (Volume 1) de Christopher Isherwood
Dans une prose lumineuse, l’écrivain britannique chronique sa nouvelle vie californienne, entre amitiés avec Garbo et Chaplin, et quête spirituelle dans l’Amérique des années 1940
Poems 1959-2009 de Frederick Seidel
Une poésie sans concession qui mêle luxe et monstruosité, sexe et dictature, le Carlyle Hotel et l’infini